mardi 27 décembre 2016

Changements climatiques: Panique apocalyptique, taxes du carbone et pénalités

Une partie significative des communautés scientifiques et politiques sont en mode panique apocalyptique sur les changements climatiques. En toutes choses, lorsque nous paniquons, nous commettons inévitablement de graves erreurs. Ce mode hystérique engendre des répercussions correspondantes sur l'Économie et l'emploi, donc directement sur la vie et la santé des individus et sociétés, ainsi que sur la stabilité du monde.



Photo YaPasDePRESSE, Québec, 3 déc. 2016

Deux erreurs: cesser de produire et pénaliser l'activité économique



Alors qu'on accuse les réseaux sociaux de la résistance aux taxes et pénalités, il s'y dit des absurdités en appui à ces pénalités. On peut y lire des absurdités, comme par exemple, que les tsunamis (résultant des mouvements de la croûte terrestre) seraient de cause humaine ou que la Terre n'aurait jamais été plus chaude, ni son atmosphère plus chargée de Carbone gazeux (faux). On y croit qu'il faut restreindre fortement l'activité économique. Dans ce même contexte de panique et manipulation des politiques, les décisions versent dans l'illogisme ou l'irresponsabilité. Par exemple, si l'on réussissait à retarder le réchauffement de 1 degré Centigrade, mais qu'à cette fin, des millions de personnes devaient mourir de famines ou des guerres et conflits qui en résulteraient dans le présent siècle, nos gouvernements passeraient  à côté de l'essentiel qui est de préserver la vie. Les décisions doivent être posées et réfléchies.

Un décès résultant de la cessation des activités qui permettent d'en vivre vaut un décès par inondation : aucun gain


En effet, si des millions de personnes sont victimes des conséquences directes et indirectes de la pauvreté provoquée par la cessation des activités humaines industrielles ou de l'exploitation des ressources (manque de travail, surtaxes, conflits ethniques en raison de migrations massives, guerres, dépendances et suicide liés aux problèmes socioéconomiques, etc.), alors où est le gain?  Pour les vrais scientifiques, une victime vaut une victime. 

J'ai trouvé particulièrement appropriée cette caricature où l'on voit des leaders de nos États nord-américains, complices avec ce qu'est devenue l'ONU, imposer le sacrifice de milliards à une grosse entité dont on ne sait rien et qui provoqueront de l'inflation particulièrement néfaste pour les classes moyennes et pauvres. Ce mécanisme de taxation est représenté ici par un cochon qui se goinfre et que l'on maquille pour le rendre présentable aux populations pénalisées. À mon avis, c'est une grosse frime.


La panique apocalyptique résultante des variations climatiques engendre inévitablement des erreurs chez les dirigeants, aussi en Amérique du Nord, pour plaire à l'ONU et sa nouvelle doctrine mondialiste qui oeuvre à l'abolition de l'autonomie des nations.



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(dernière modification: 12 décembre 2015)